Victoire du STJV qui trouve un accord avec DON’T NOD

Une lutte acharnée mais qui s'avère payante.

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Plus de 4 mois de tensions, de grèves à répétition et de négociations fermes, voilà ce qu’il aura fallu pour qu’un accord soit trouvé entre DON’T NOD et le STJV. Le Syndicat des Travailleurs et Travailleuses du Jeu Vidéo aura finalement fait plier la direction pour obtenir un traitement plus juste envers les employés. Ainsi que les ex-employés du studio, qui n’auront pas pu récupérer leur poste.

🔴🌪️ LA LUTTE PAIE : ACCORD À DON’T NODLeur direction voulait les virer comme des malpropres, mais les travailleur·ses ont obtenu la réduction du nombre de licenciements, 13 000 € d’indemnité supra-légale et le paiement des jours de grèvewww.stjv.fr/2025/02/…

Syndicat des Travailleur·ses du Jeu Vidéo (@stjv.fr) 2025-02-26T18:30:00.000Z

Concrètement, cet accord réduit le nombre de licenciés, passant de 69 à 49. Des emplois sauvés grâce à l’élargissement des départs volontaires. D’un autre côté, les rémunérations et indemnités de licenciements sont revues à la hausse avec 13 000€ minimum supplémentaire, le paiement des jours de grève, ainsi que le calcul de l’indemnité légale de licenciement sur la base des règles les plus favorables des cadres.

Si cela n’aura pas épargné l’intégralité des employés de DON’T NOD, cet accord est un prometteur pour le futur de l’industrie. Alors que les licenciements s’enchaînent à travers le monde, cette victoire mesurée redonne espoir. Grâce à la force du nombre, les syndicats peuvent venir en aide à ceux qui en ont besoin. Et c’est sur cela qu’insiste le STJV. Il n’est pas acceptable que quiconque perde son poste du jour au lendemain.

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